Article vérité

Vous êtes Vérité…

Il n’y a qu’une Vérité, la vôtre. Il n’y a qu’une vie, la vôtre. Votre Vérité est l’unique Vérité possible. Vous êtes Absolu, Absolu Amour…. que pourriez vous être d’autre que cela? Qui êtes vous ? Cette personne? Cet individu? Celui qui survit, qui souffre, qui naît, qui meurt? Sans interruption?

Posez l’unique question : qui êtes-vous? Non pas là dans l’éphémère réponse de je suis tel nom, tel rôle, telle vibration, non bien plus largement, avant d’être vivant dans ce corps, qui étiez-vous? Pouvez-vous répondre à cette question, car c’est la seule question valide…

Dépassez toute limite, tout enfermement. Acceptez l’évidence ou ce que vous reniez ; vous êtes AMOUR, rien d’autre ne pourrait vous définir. Quel Dieu pourrait imaginer ou créer une conscience qui se limiterait d’elle même entre la vie et la mort? Si un Créateur s’observe au travers de nos expériences, il ne peut que participer. Il n’est pas ailleurs qu’Ici, bien présent, à chaque souffle. Vous êtes le créateur, de votre propre présence, ici comme partout, seul le regard qui se pose ici, a oublié. La matière non consciente est impossible. La matière est l’autre nom de l’Absolu. La matière procède de quelque part, c’est bien sûr la seule possibilité.

Ce quelque part est-il dans le confin du cosmos? Est-il ailleurs que vous même? Quand vous partez dans le sommeil ou dans le rêve, qui êtes-vous ? Qui est le rêveur? Qui se réveille? Tout ici en ce monde est alternance, cycle oscillant. Mais vous êtes surtout bien plus que Cela Ici. Vous englobez cela, totalement. Vous n’excluez pas votre personne, votre expérience, même l’ensemble de vos expériences. Vous êtes le monde, car dès que vous dormez, où est le monde? Quand vous mourrez où est le monde? Il disparaît en totalité.

Accordez du crédit au monde est aussi stupide ou aussi valide que d’accorder du crédit au rêve, de la même manière que le rêve disparaît au réveil, le monde disparaît à votre mort, même si vous revenez, le monde ne sera jamais le même, qui est réel? Cette chose fragile périssable qu’est le corps? Vos pensées, elle passent… Vos expériences? Elles passent.. car vous rappelez vous de vos expériences d’avant? Qu’y a-t-il seulement à se rappeler? Est-ce que le rappel, le souvenir est-ce que vous vivez? D’ailleurs qui vit? Si ce n’est la Vie elle même, qui regarde? Qui éprouve?

Si vous êtes honnêtes vous êtes obligés de reconnaître une incohérence dans ce qui est conscient au sein de toutes ces limites. Or la vie serait incohérence et chaos? Obéissant à une loi d’expansion, ou à une loi d’entropie sans fin? Seul la conscience limitée peut elle même se limiter au sein de ses propres limites. Elle ne vivra jamais l’infini, quoi que vous fassiez, quoi que vous croyez, quoi que vous niez. Ce corps disparaitra, ses souvenirs avec, ses émotions et ses pensées disparaissent elles chaque jours? Quand le vase qui contient l’air ambiant se casse, est ce que l’air contenu dedans disparaît? Êtes vous le vase? Ou ce qu’il contient? Et pour quoi alors ne vous voyez vous pas comme cet air? Le vase ne fait que contenir littéralement. Il contient l’air, il contient la vie dans une limite. Le vase se sait périssable. Il enferme le contenu mais est ce que le contenu est il limité à ce vase?

L’homme pense toujours tout connaître, ou au mieux qu’il pourra améliorer sa connaissance. Et dans quel but, et bien se connaître? Comment l’air pourrait se connaître en supposant être seulement le vase?

L’honnêteté est de saisir la vérité, rien de ce que vous croyez être Ici, ne peut être saisi, puisque changeant, mutable, limité et sans consistance autre que la forme limitée. Vous êtes honnêtes avec vous-même, alors qui êtes-vous avant d’être ce limité? Avez-vous la réponse? Bien sûr que non, et bien sûr que oui, et la seule réponse valide est : vous êtes absolument tout, rien ne peut ne pas être vous, puisque que quand vous mourrez le monde meurt, quand vous dormez le monde meurt. Tout passe sauf l’éternité qui est, indépendamment de ce passage sur terre. Et vous où étiez vous avant? Hier dans votre rêve, quelle était votre émotion, vos pensées il y a un an, quelle est votre idée d’il y a un an? Vous ne vous rappelez pas? Bien sûr, ce monde est oubli permanent, et pourtant nous y sommes tous…. Faites votre propre idée, vous aboutirez inexorablement à la seule conclusion honnête : Vous êtes l’Amour, je suis l’Amour. C’est notre nature, notre substance. Quelles différences entre votre substance et toute autre substance? Aucune!

Seul le limité pose une barrière, car il ne reconnaît pas sa substance. Nous sommes l’ Absolue Vérité de l’Amour. ENJOY

23/03/2012

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